Test du Kodak EasyShare V550
Le mois dernier Kodak annonçait son nouvel appareil numériques : le V550. Doté d'un zoom optique 3x (36-108 mm), d'un capteur 5 mégapixels et d'un grand écran de 2,5", il est pile dans la tendance de l'appareil numérique évolué type de l'année 2005. Conçu pour un fonctionnement simple, il est destiné à ceux et celles qui ne veulent pas se casser la tête avec les réglages. Son design très tendance le destine aussi aux amateurs de beaux objets qui privilégient l'enveloppe à la fonction. Enfin, son mode vidéo est particulièrement évolué et il est livré avec une station d'accueil, elle aussi très design, et surtout très pratique.
Nous avons pu tester ce nouveau Kodak EasyShare V550 et le mettre à l'épreuve du terrain. Après quoi, nous l'avons confronté à notre DxO Analyzer pour mesurer ses performances optiques.
Test du reflex numérique Canon EOS 350D
En effet, pour beaucoup d'amateur, un vrai appareil photo est un reflex (qualité de la visée, réponse de l'obturateur, autofocus puissant et rapide, optiques interchangeables?) et avec le 300D, le reflex numérique, certes toujours un peu cher, devient abordable pour le plus grand nombre. Le 300D s'est très bien vendu. Son unique concurrent était le Nikon D70, certes excellent et un peu supérieur, mais tarifé 300 à 400 euros plus cher. En plein succès, Canon a frappé un deuxième coup en annonçant celui qu'on pensait être le remplaçant du 300D : le 350D. Or, il ne remplace pas le 300D dans le catalogue Canon, mais il se positionne un cran au dessus. Par contre, le 350D cannibalise les ventes de 300D car on le trouve à 600 euros boîtier nu alors qu'on peut s'offrir un 350D pour 800 euros. Si 200 euros représentent une somme en soi, ce n'est rien pour la différence qui sépare le 300D du 350D.
Le 350D est en effet de loin supérieur et ce, sur plusieurs plans : tout d'abord sa résolution qui passe de 6 à 8 mégapixels. Nous le verrons aussi plus loin, le 300D avait été un peu épinglé pour ses limitations logicielles qui le privaient artificiellement de certaines fonctions afin de justifier un 10D vendu le double pour une même qualité d'image. Le 350D s'est affranchi de ces limitations et il est très proche du 20D, en fonctions comme en performances, mais il assume tout à fait son positionnement amateur.
Nous avons mis le 350D à l'épreuve du terrain et du banc d'essai DxO Analyser pour savoir ce qu'il a dans le ventre.
Test du Canon Powershot A510

Test de la carte Compact Flash Kingston Elite Pro 4 gigas
Avec le numérique, la carte mémoire a remplacé la pellicule pour ce qui est du stockage des photos. Si le choix de la pellicule était important auparavant pour le choix de la sensibilité, d'un ton éventuel (chaud, froid), d'un contraste ou d'une finesse de grain, aujourd'hui, les photographes numériques doivent aussi choisir avec soin leur carte mémoire. Dans ce cas là, les critères de choix seront différents, puisque nous comparons la vitesse d'écriture, la vitesse de lecture, la fiabilité, la capacité et le coût au Mo.
POURQUOI UNE COMPACT FLASH
La carte Compact Flash est de loin le premier format de carte mémoire existant. Il reste le plus intéressant en matière de coût, de capacité et de vitesse d'exécution. Nous nous rebellons souvent, sur le site, contre la multiplication des formats de stockage numérique, qui ont surtout pour effet d'aspirer le contenu de votre porte-monnaie. Le photographe numérique, pigeon de la consommation des années 2000 (compacts bas de gamme facturés au prix de reflex experts argentiques, stockage cher et format changés sans arrêt) se met à réfléchir au coût de son équipement. A l'heure où la grogne touche le consommateur qui voit son pouvoir d'achat diminuer, le choix du bon format de stockage est plus que jamais d'actualité.
Test du Sigma 18-125 DC sur le Canon EOS 20D
L'optique star de Sigma et vraiment pratique en voyage de 28-200 mm devient en numérique un 18-125, comme cet objectif 18-125 mm DC f3.5-f5.6 que nous testons ici.
Test de l’appareil bijou Canon Ixus I5
Il y a une dizaine d'année, Canon bouleversait le monde de la photo en lançant une gamme magnifique d'appareils photo (argentiques) compacts : l'IXUS. Leur caractéristiques : des boîtiers métal au look superbe, à la finition irréprochable et à la qualité photo excellente.
Ainsi, Canon a reproduit ce schéma aux compacts numériques en lançant les premiers numériques avec le label Ixus. Puis Canon a enchaîné les modèles en y apportant toujours quelque chose : quelques pixels en plus, un range plus important etc?
Il y a quelques mois Canon va plus loin dans le concept minimaliste et lance un boîtier plus que ultra compact, sans zoom : l'Ixus I. Canon revoit rapidement sa copie en dopant le capteur et sort l'Ixus I5 : le summum de l'appareil bijou, que nous avons testé.
test imprimante autonome 10 x 15 cm Epson PictureMate Phone Edition
Autre grande famille des imprimantes autonomes 10x15 cm, le jet d'encre. Sa technologie est radicalement différente de l'impression par sublimation thermique, mais mérite que l'on s'y intéresse. Epson, leader du jet d'encre, a sorti le PictureMate il y a quelques mois et plus récemment,
DESIGN, FINITION
Le design de la PictureMate tranche avec celui des imprimantes à sublimation thermique. Elle affiche sa poignée, comme pour dire "emmenez-moi avec vous" ou "regardez, je suis portable". En effet, elle s'invite facilement cet PictureMate, mais attention, ni elle, ni ses concurrentes, ne sont réellement autonomes car pour être autonomes, il faudrait qu'elles soient équipées d'une batterie leur permettant d'imprimer sans alimentation. Ce serait vraiment le pied d'ailleurs et on pense tout de suite à plein d'application ! Mais pour ça, il faudra repasser.
En position disons "voyage", on replie le bac à papier et la fente pour l'éjection des photos imprimées et on obtient une carapace entièrement refermée. Il ne vous reste plus qu'à mettre le papier photo dans vos poches.
Le PictureMate est plus lourde qu'elle n'en a l'air, signe de robustesse. Ses boutons en caoutchouc sont très bien ajustés. Tout ça respire la solidité.
Test Imprimante sublimation thermique 10×15 Kodak Printer Dock Plus
Kodak a été le premier à ouvrir la voie des stations d'accueils pour les appareils photo numériques. C'est en toute logique que Kodak y a intégré une imprimante. Celle-ci est à sublimation thermique et, avec un appareil Kodak, fera un véritable labo à domicile ou chambre blanche, tout ça, sans PC !
FINITION, DESIGN
Son design est classique et n'évolue guère depuis les autres générations de Printer Dock, dont il reprend les formes et couleurs métal. La station est très compacte, environ comme
La station fait très pastique et les boutons auraient pu être mieux finis et mieux ajustés. La qualité de finition est cependant globalement correcte.
test de l’imprimante autonome à sublimation thermique Olympus P10
Olympus n'est pas en reste sur le domaine de la sublimation thermique et a sorti son modèle : la P10. Elle est relativement peu connue du grand public ce qui est étrange, comparé aux Kodak ou Canon par exemple.
Au point de vue du design, nous avons beaucoup aimé son style cubique. Quand on la sort du carton, on est tout de suite frappé par son poids, c'est du costaud ! Elle revêt un habillage blanc et bleu qui est vraiment esthétique, nous avons là un vrai bel objet, robuste, bien fini, qui trouvera facilement sa place dans un coin ordinateur chez vous ou bien au bureau.
Nous l'avons dit, elle est cubique et rien ne dépasse, c'est la seule à avoir adopté cette conception : pas de bac papier à enficher, pas de photo qui traverse l'imprimante et sort de l'autre côté. Tout est intégré, c'est pour cela qu'elle semble au premier abord un peu plus encombrante que ses concurrentes, mais en définitive, elle prendra moins d'espace. Le bac à papier est un tiroir sur le bas de l'imprimante et lorsque l'on lance l'impression, les photos font un chemin en interne, on ne voit rien, et la photo sort sur le dessus. C'est propre, c'est net.
Nous apprécions cette conception monobloc et interne, mais il faut avouer que voir la photo naviguer d'un côté à l'autre de l'imprimante et les couches s'additionner pour révéler enfin la photo, est assez magique. C'est une émotion comparable au développement et au tirage argentique en chambre noir quand on voyait petit à petit l'image apparaître.
Test imprimante autonome Sagem Photo Easy 255
Sagem était jusqu'à, il y a peu de temps, assez mal connu du grand public.. et pourtant il s'agit d'un grand groupe qui fabrique tous nos feux de circulations ! En tout cas, on peut se demander pourquoi Sagem, groupe de télécommunications, vient s'aventurer sur le marché de
D'un point de vue design, la Sagem n'est pas la plus belle, loin sans faut, mais son design, classique, est passe-partout et par là même adapté aux besoins de certains professionnels qui souhaiteront s'équiper et l'installer dans leur bureau. On voit bien un architecte, une entreprise de travaux publics etc? avoir recours à une telle imprimante pour sortir instantanément des clichés de qualité professionnelle sans avoir recours à un ordinateur.
test de l’imprimante autonome Canon Selphy CP-400
Canon a été un des pionniers dans cette technologie de la sublimation thermique avec toute une première génération de CP-100, CP-200 etc. Canon a rebaptisé cette gamme d'imprimantes autonomes, Selphy. Selphy comme self ou soi-même : on peut tirer, soi-même, chez soi, des photos de qualité professionnelle. Par ailleurs, Canon a été aussi le premier à lancer
Test du Cameraphone 3G mégapixel Nokia 6630
La nouveauté de ce modèle est sa compatibilité 3G, comprendre Terzia Generazzione ou très haut débit UMTS. Il pourra donc transférer les photos à haut débit, ce qui va lui ouvrir de nouvelles possibilités de partage comme nous le verrons plus tard. Nous nous attacherons, lors de ce test, à évaluer les possibilités photo de ce cameraphone. Ses fonctions GSM auront déjà été testées par le site spécialisé mobifrance.com
Test du Konica-Minolta Dimage A2
Minolta a ouvert le bal en 2001-2002 avec la sortie de ce bridge camera expert qu'était alors le Dimage A7. J'en avais fais alors l'acquisition, mais il a vite fini sur ibazar du fait de défaut rédibitoires comme une piètre autonomie, des photos extrêmement bruitées ou encore une poignée qui chauffait énormément. En bref, cet appareil à la fiche technique alléchante m'avait séduit, mais l'appareil ne semblait pas totalement finalisé.
Depuis lors, Minolta a eu le temps de peaufiner sa copie avec la sortie des A7i, A7Hi, puis du A1. A chaque génération, l'appareil a été optimisé et s'est vu rajouter des nouveautés. Puis, quelques mois après l'annonce de la fusion de Konica et Minolta, nous avons vu apparaître ce Konica Minolta Dimage A2 qui apporte deux améliorations essentielles par rapport à son prédécesseur le A1 : un système de stabilisation d'image révolutionnaire et 3 mégapixels de plus pour passer de 5 à 8 mégapixels sur un capteur qui, lui, fera toujours la même dimension de 6.6 x
Clairement, on sent que le A2 est l'aboutissement d'une lignée d'APN tant il est bien conçu et répond avec intelligence aux attentes des amateurs experts.
Test du Kodak EasyShare DX7590

Parmi ses principales caractéristiques, on peut déjà retenir les suivantes :
- objectif Schneider Kreuznach 38-380 mm
- résolution 5.0 mégapixels
- écran LCD 2.2"
- fonctions "Share" de Kodak
- 22 programmes résultats
Test du Canon Powershot A95
Voici ses principales caractéristiques :
- 5.0 mégapixels
- objectif 38-114mm ouvert à F2.8-4.9
- 1.8 " écran LCD articulé
- processeur DIGIC
- Autofocus 9 point AiAF plus flexizone
- 14 programmes résultats
- bouton d'impression directe
- lampe assiatnt Autofocus
- boîtier métal
Test du Olympus µ-mini
Comment ne pas tomber amoureux de ce bel objet qui a aussi le bon goût de revêtir une texture satinée extrêmement agréable. Olympus a immédiatement décliné son µ-mini en plusieurs coloris.